Nos deux héros sont ceux créés par Flaubert, repris quelques temps après ; dans son récit, René Reouven nous les présente s’intéressant aux sciences parallèles.

Au cours de leurs mésaventures, nous assistons donc aux nouveaux échecs de ces deux personnages épris de sciences.

Ce roman est plein d’humour et agréable à lire. Pourtant sa brièveté (180 pages) empêche d’en profiter pleinement. Les réferences sont nombreuses, notamment à Wells. Mais je pense que beaucoup ne seront accessibles qu’aux amateurs d’une littérature plus classique, ou du XIX siècle. Ce que je ne suis pas. Rien de plus énervant que de sentir l’existence d’une référence, alors qu’on ne voit pas à quoi l’auteur fait référence…

Je suis donc bien en mal de conseiller ou non ce livre, que j’ai pourtant apprécié – mais sans plus.

Note :
2/5