Que dire, que dire sur ce deuxième tome du cycle des Cantos d’Hypérion ? Admirer l’hommage à Keats, poète Anglais dont l’oeuvre inachevée du même nom a inspiré, au moins en partie, ce récit, et dont la personnalité constitue l’un des plus importants personnages du cycle ?
Ou la manière d’explorer, une nouvelle fois, les multiples aspects de cet univers et de la science-fiction, pour nous dépeindre cette histoire avec un talent, un goût inégalables ?
: Ou plutôt se laisser entraîner par l’excellentissime intrigue, aux rebondissements tous plus réussis les uns que les autres, au suspense et à l’atmosphère orchestrés de main de maître… Seule et unique critique à l’auteur, avoir voulu, plusieurs années après, profiter de l’engouement créé pour vendre une suite 100% commerciale, « Endymion », très loin d’avoir fait l’unanimité. Pour que le tableau soit parfait, une seule solution : ne pas lire la suite !
A ce jour, le meilleur roman qu’il m’ait été donné de lire. Tout simplement.

Note :
5/5