James Herbert, moi, j’aime bien : Sépulcre, l’Empire des Rats, Fog, c’est ultra-violent, d’accord, mais ce Herbert a un talent qui donne à chacun de ses romans de terreur une ambiance rarement égalée qui en fait l’un des meilleurs auteurs de la littérature de terreur. Enfin, quand je dis « chacun » de ses romans, c’est ce que je croyais… Son défaut, c’est trop souvent de ne pas se fatiguer pour ses intrigues, on se retrouve trop souvent avec des histoires du type gentils-méchants , ou des sectes bidons qui font des tas de trucs pas gentils… Mais d’habitude, les qualités du roman compensent largement ses défauts.
A la base, pourtant, ça pourrait être très sympa. L’histoire est celle d’un paparazzi relativement peu sympathique, qui va prendre la photo de trop : cette fois, il va vraiment falloir qu’il rende les pellicules… A qui ? A des entités maléfiques à deux balles ou à la secte de richards super-méchants bidon qui les abrite ? Navrant !
Quand à la narration façon « et maintenant, cher lecteur…. », elle pourrait être intéressante si elle était utilisée de manière plus intelligente. Il n’y a pas grand-chose pour sauver ce roman !

Note :
1/5